Preliminary findings on the effect of the pig appeasing pheromone in a slow releasing block on the welfare of pigs at weaning 2016

Share This Post

Abstract:

The pig appeasing pheromone (PAP) applied in spray has shown to be effective in reducing the frequency of aggression and the stress response of young and adult pigs under experimental conditions. This preliminary experiment investigates the effect of the PAP in a slow releasing block on the behaviour and skin lesions of weaners after mixing on a commercial farm. Two identical rooms containing six replicates per treatment of a commercial weaner building were used. There were two treatments (PAP block and Control) and each room contained one treatment. In the PAP treatment, the day before weaning and after washing and disinfection, two PAP blocks (1 block / 20 m2) were placed hanging on top of the pens. Six hours after mixing, there was a significant effect of the PAP block treatment on the occurrence of social negative behaviour (PAP mean; median [95 % CI] for median = 3.6; 2.7 [1.5-5.4] % vs. Control 8.3; 8.7 [6.1-11.3] % P = 0.003, social positive behaviour (PAP 5.5; 5.1 [4.5-6.8] % vs. Control 1.4; 1.3 [0-2.8] % 

P = 0.02), feeding (PAP 9.1; 7.4 [5.5-16.5] % vs. Control 1.6; 0.0 [0-6.1] % P = 0.02, drinking (PAP 3.1; 2.9 [2.5-3.9] % vs. Control 0.8; 0.5 [0-1.7] % P = 0.04) as well as on the sitting position (PAP 1.2; 0.9 [0-2.4] % vs. Control 4.1; 4.2 [2.1-6.0] % P = 0.02). Except for social positive behaviour (PAP 5.6; 6.0 [3.9-7.5] % vs. Control 2.9; 2.8 [1.6-4.2] % P = 0.02) those differences were not significant 24 h post-mixing anymore. The prevalence of wounded animals was not significantly different between treatments. The PAP in block form may be a promising tool to reduce food neophobia and aggression after mixing. Still, further research is needed to increase the effect of the PAP block over time under commercial farming conditions. 

Auteur: Déborah Temple, Héloïse Barthélémy, Eva Mainau, Alessandro Cozzi, Marta Amat, Maria Eugênia Canozzi, Patrick Pageat and Xavier Manteca

En savoir plus: https://porcinehealthmanagement.biomedcentral.com/articles/10.1186/s40813-016-0030-5

Jetez un œil à nos autres articles

Philippe - Technicien de recherche IRSEA
INSIDE IRSEA

Philippe Monneret : technicien de recherche​

Depuis plus de vingt ans, Philippe fait partie de ces collaborateurs discrets mais essentiels qui veillent chaque jour sur les animaux de l’IRSEA. Technicien de recherche passionné, il se distingue par son attention quotidienne, sa connaissance fine de nos animaux et de leurs comportements. Cette expertise précieuse lui permet de contribuer activement à la préparation et au déroulement des essais scientifiques, en étroite collaboration avec les équipes de recherche.

30 Irsea - naissance de l'Institut
HISTOIRE IRSEA

30 ans de recherche et d’innovation

Depuis 1995, l’IRSEA explore les langages invisibles du vivant. Fondé à Apt par le Dr Patrick Pageat, l’Institut est devenu un centre de recherche pionnier en sémiochimie et éthologie appliquée, avec plus de 40 collaborateur·rices et 400 brevets. Un institut de référence sur la communication chimique entre les espèces, pionnier et engagé pour une science éthique, innovante et utile, au service du vivant.

INSIDE IRSEA

Alessandro Cozzi : Directeur général

Directeur général et directeur recherche et enseignement de l’IRSEA, il supervise les équipes et les projets, entre science et gestion. Passionné par la recherche fondamentale et appliquée, il aime voir naître et évoluer les idées. Son rôle consiste aussi à accompagner les personnes et à bâtir un cadre pour faire grandir l’Institut. Inscrivant l’IRSEA dans une démarche One Health, il s’appuie sur une expertise pluridisciplinaire et le biomimétisme pour développer des solutions utiles au bien-être animal, à la santé animale et humaine.

INSIDE IRSEA

Ennia Bracco : Technicienne de recherche

Technicienne de recherche à l’IRSEA, elle réalise des analyses de matrices animales, végétales ou insectes pour identifier des molécules messagères chimiques. Elle collabore avec les chercheur·euses et ingénieur·es pour apporter des réponses concrètes aux projets scientifiques, retraitant et interprétant les données, rédigeant des rapports et assurant la gestion des déchets chimiques. Passionnée par l’exploration de l’inconnu, elle aime investiguer et se remettre en question chaque jour pour faire avancer la recherche.